LES POÈTES VAINQUEURS
LES POÈTES VAINQUEURS Des tristesses du temps, consolez-nous, poètes ! Faites vibrer vos luths, et tels que des oiseaux Célébrez dans le vent d’orage et les tempêtes Les vertus, Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
LES POÈTES VAINQUEURS Des tristesses du temps, consolez-nous, poètes ! Faites vibrer vos luths, et tels que des oiseaux Célébrez dans le vent d’orage et les tempêtes Les vertus, Continuer la lecture →
L’AFFAIRE Famille, état-major, magistrats, ministère, Tout est frappé, sali par cette triste affaire ; Mais elle n’ose point s’attaquer au Congo, Qui reste pur, intact, arborant son drapeau. Rémy Continuer la lecture →
LE RECORD Parmi tant de produits d’invention subtile, Qui donnent à la France un renom haut et fort, C’est toujours le Congo si léger, — si fragile — Qui Continuer la lecture →
POUR LE BONHEUR Si tous les gens qui font le gâchis politique Où sombre lentement la fortune publique Avaient rimé des vers en l’honneur du Congo, La France goûterait Continuer la lecture →
UNE LÉGENDE ANGLAISE Marchand, qu’à Fashoda l’on disait sans ressource, Privé de tout, n’ayant ni provisions ni bourse, Offrit à Kitchener (ayant tout à gogo) Du champagne, des bœufs Continuer la lecture →
PENDANT SEIZE ANS Depuis que le Congo aux bulles éphémères Impose ses parfums dans les lieux élégants, La France a vu passer soixante ministères. Que n’étiez-vous savons, ô pauvres Continuer la lecture →
AU CENTRE AFRIQUE Si Marchand doit quitter Fachoda, sa conquête, Vaissier y restera, solide, sans céder, Car déjà ses comptoirs du haut et bas Niger Débitent le Congo ses Continuer la lecture →
LE PREMIER Longtemps avant le sirdar égyptien, Victor Vaissier avait conquis l’Afrique ; Son pur Congo, savon au parfum fin, Est un vainqueur charmant et pacifique. Rose Turris Paru Continuer la lecture →
EN HIVER Même en hiver, amis, ne chauffez pas votre eau. L’eau pure et froide seule est saine, est hygiénique Si vous y mélangez la mousse du Congo, Vous Continuer la lecture →
À FASHODA Nous devrons, je le crains, déserter Fashoda ; Mais si nous n’y laissons aucun de nos soldats, Vaissier, qui tient toujours ferme et droit son drapeau, Y Continuer la lecture →