À FASHODA

 

À FASHODA

Nous devrons, je le crains, déserter Fashoda ;
Mais si nous n’y laissons aucun de nos soldats,
Vaissier, qui tient toujours ferme et droit son drapeau,
Y fera triompher les parfums du Congo.


L. Bracq

Paru le 20 octobre 1898 dans Le Petit Parisien.

Commentaires fermés.