LES COIFFEUSES DE SAINTE CATHERINE

 

LES COIFFEUSES DE SAINTE CATHERINE

« Hélas ! que j’en ai vu passer, des jeunes filles
» Vouées au célibat ! » gémit Victor Hugo ;
C’est qu’on ne sentait pas, sous leurs cottes gentilles,
Le parfum enivrant qu’exhale le Congo !

Un lecteur du Courrier français

Paru le 27 janvier 1890 dans L’Intransigeant.

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