LE RÉCIT DU CRIME
LE RÉCIT DU CRIME « Comme il était plongé dans l’extase divine » Que donne le Congo par sa senteur si fine, » Mon complice aisément lui passa le collier, Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
LE RÉCIT DU CRIME « Comme il était plongé dans l’extase divine » Que donne le Congo par sa senteur si fine, » Mon complice aisément lui passa le collier, Continuer la lecture →
CYNIQUE RÉCIT DE GABRIELLE L’huissier me demanda, après l’introïbo, — Où mets-tu, cher petit démon, le lavabo ? Alors, je lui passai le Savon du Congo, Tandis que mon amant, Continuer la lecture →
L’INOUBLIABLE C’est en vain qu’on voudrait, après tant de réclame, Oublier, ô Vaissier, ton doux et pur savon, Nul ne le peut, car son renom, comme une flamme Monte, Continuer la lecture →
LE FAVORI DE TOUS Le riche l’apprécie autant que l’ouvrier, Et du noble faubourg au plus pauvre quartier On vend ses fins parfums par quantités égales. Le Congo n’a-t-il Continuer la lecture →
LE VENT Le vent qui souffle a passé par Roubaix, Car par instants, dans ses larges rafales, Nous retrouvons le parfum doux et frais Du Congo fin ! ô senteurs Continuer la lecture →
LA MUSE EN DEUIL Un poète bâtard célèbre dans ses vers Le prince des savons ; mais, rimant de travers, Il nous fait regretter que l’immortel Hugo N’ait plus son Continuer la lecture →
IN GALLICAM VENEREM ! C’est quatre-vingt-dix fois que Ninon de Lenclos A pu voir l’hirondelle et les lilas éclos, Toujours tout aimable, toujours enchanteresse, Égalant en beauté et… Cypris charmeresse, Continuer la lecture →
LES COIFFEUSES DE SAINTE CATHERINE « Hélas ! que j’en ai vu passer, des jeunes filles » Vouées au célibat ! » gémit Victor Hugo ; C’est qu’on ne sentait pas, sous leurs cottes Continuer la lecture →
HOMMAGE Depuis longtemps déjà tes rivaux sont battus, Ô prince des savons, par tes rare vertus ! Quiconque désormais veut soigner son visage, Doit faire du Congo journellement usage ; Il Continuer la lecture →
BELLAQUE MATRIBUS… DETESTATA S’il eut, certes, le cœur blindé d’un triple bronze, Celui qui dans la guerre excella le premier, Et fit ainsi couler, en son sang-froid de bonze, Continuer la lecture →