CANDIDAT FÉMINISTE
Nommez-moi, je ne fais jamais de politique ;
Mais je suis toujours propre, élégant et coquet,
Les femmes m’éliraient si le sexe votait,
Car le divin Congo m’a rendu magnifique.
Antinoüs Boulard
Paru le 8 mai 1898 dans La Croix.