À LA PLUS JOLIE FEMME DE PARIS

 

À LA PLUS JOLIE FEMME DE PARIS

Quand la farouche Parque, oh ! charmante mignonne !
Du fil de tes jours arrêtera le rouage,
Qu’aux cieux ton heure d’entrer plus jamais ne sonne
Si des Savons Vaissier tu n’as pas fait usage.

Émile Ancelin

Paru le 28 juillet 1889 dans Le Figaro.

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