LE SERPENT FIN DE SIÈCLE
LE SERPENT FIN DE SIÈCLE Essayez donc d’offrir, comme à l’Éden, des pommes Aux Èves d’à présent, — vous ne les aurez pas ; Mais offrez du Congo aux séduisants Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
LE SERPENT FIN DE SIÈCLE Essayez donc d’offrir, comme à l’Éden, des pommes Aux Èves d’à présent, — vous ne les aurez pas ; Mais offrez du Congo aux séduisants Continuer la lecture →
MÈRE ET NOURRICE Ô belle nounou, le lait que contient Votre transparent et solide sein, A même blancheur, grâce au Congo fin, Que le doux tissu de son frais Continuer la lecture →
SIMILIA SIMILIBUS… Allier des partis qui font mauvais ménage C’est mauvaise besogne, et qui craque un beau jour… Mais mêler le Congo aux attraits du visage C’est faire un Continuer la lecture →
[sans titre] La femme fin de siècle a tout pour être aimée ; Taille svelte, teint pur, esprit vif, corps parfait ; Autour d’elle voltige une brise embaumée. Et le Congo, Continuer la lecture →
CONQUIS ! Il s’empare de vous, vous séduit, vous attire, Exerce sur vos sens un souverain empire, Et par ses fins parfums sait tant vous captiver Que vous ne quittez Continuer la lecture →
UN COMBLE Je sais qu’il rajeunit bien des vieilles perruques, Et dans plus d’un cœur mort fait fondre les glaçons, Mais le comble, ô Vaissier, c’est que ton chic Continuer la lecture →
SUR LE BOULEVARD Monsieur de la Mornifle a reçu maints soufflets, Mais son visage sait n’en pas garder la trace ; Un lavage au Congo en un clin d’œil l’efface, Continuer la lecture →
EN VACANCES Potaches, soyons gais et joyeux en vacances. Au diable Cicéron, l’algèbre, les sciences ! Lisons parfois les vers mélodieux d’Hugo ! Parfumons-nous surtout aux brises du Congo ! Un lycéen Continuer la lecture →
FLEURS ET FEMMES La femme est une fleur, c’est chose convenue Et dite assez souvent pour être bien connue ; Femmes, pour être en tout pareilles à vos sœurs, Empruntez Continuer la lecture →
LUI SEUL ! Que de talent et d’art déployaient nos grand’mères Pour arborer un front aux fraîcheurs printanières ! Les mouches ont vécu, les fards sont délaissés… Le vieux Congo suffit : Continuer la lecture →