DIMANCHES D’ÉTÉ
DIMANCHES D’ÉTÉ Le dimanche, notre bonheur Est de nous baigner tous en chœur. Puis au Congo l’on se parfume… Que voulez-vous, c’est la coutume ! Paru le 17 septembre 1888 Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
DIMANCHES D’ÉTÉ Le dimanche, notre bonheur Est de nous baigner tous en chœur. Puis au Congo l’on se parfume… Que voulez-vous, c’est la coutume ! Paru le 17 septembre 1888 Continuer la lecture →
TRIPATOUILLAGE Tripatouillant dans un corsage, Un jour, ce farceur de Boireau Dit : « Quel parfum !… Ça m’encourage. » Elle reprit : « Soyez donc sage ! » Lui : « Ça sent si bon, le Congo ! » Paru Continuer la lecture →
MAME PUTIPHAR Si Putiphar dedans son eau Eût mis du Savon du Congo, Joseph eût reconnu ses charmes, Et vite, il eût rendu les armes, Loin de dire : « T’es Continuer la lecture →
[sans titre] Guilloché comme un bijou rare, Et fait en forme de guitare, Tel est l’objet qu’Arthur donna, L’autre semaine, à sa Nana. Je l’ai vu, — comme beaucoup Continuer la lecture →
L’ÉDEN Éva repose. Son boudoir, Tendu de satin primevère, Embaume comme un encensoir ; Et c’est le paradis sur terre Grâce au Congo de Vaissier frère ! Paru le 15 septembre Continuer la lecture →
LE VRAI ET LE FAUX N’achetez jamais de Congo S’il n’est pas signé : « Vaissier frère. » Ce nom-là, les marchands de faux Ne peuvent pas le contrefaire. Paru le 14 Continuer la lecture →
UNE ÂME BLANCHIE On dit qu’y a plus d’Dieu, plus rien, mêm’ plus d’Satan ; Ça c’est pas épatant, Car Lucifer, dit-on, a pu s’blanchir son âme Avec le savon Continuer la lecture →
NE NOUS GOBONS PAS Un jour, une guenon, au temps préhistorique, Dérobait un savon dessus le lavabo Du premier parfumeur, ce bonhomme biblique, Qui singes nous créa. C’est ainsi Continuer la lecture →
HYGIÈNE ET SAUVETAGE À Paris, l’état sanitaire Chaque jour va s’améliorant ; C’est au Congo de Vaissier frère Que l’on doit ce progrès constant. Paru le 10 septembre 1888 dans Continuer la lecture →
PUDEURS OFFICIELLES Le chaste Ferrouillat, dont la pudeur s’obstine À proscrire le nu, même sur les dessins, N’aime pas le Congo, dont l’odeur assassine Fait germer en son cœur Continuer la lecture →