COMMENT J’AI PLU
COMMENT J’AI PLU J’avais utilisé tous les moyens de plaire, Mais je ne plaisais pas, et j’étais en colère. Ayant eu le bonheur d’employer le Congo, Je devins fort Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
COMMENT J’AI PLU J’avais utilisé tous les moyens de plaire, Mais je ne plaisais pas, et j’étais en colère. Ayant eu le bonheur d’employer le Congo, Je devins fort Continuer la lecture →
SÉCURITÉ Je n’ai pas besoin de miroir Pour constater, matin et soir, Que le Congo me rend plus belle, Car mon époux devient fidèle. Rose T… Paru le 15 Continuer la lecture →
GARÇONNIÈRE Entrez, Madame, en ma chambrette ! Très modeste est le mobilier ; Mais, sur ma table de toilette, Embaume un Congo de Vaissier. Aloysius Orange Paru le 8 Continuer la lecture →
UN AMI Comme un ami, partout je retrouve avec joie Le célèbre Congo, ses parfums délicats, Et c’est avec transport que le soir je me noie Dans son lait Continuer la lecture →
TOUT PAR LUI Une femme paraît. Lors, quel que soit son âge, Des effluves troublants s’envolent sur ses pas, Et cet encens divin, ce capiteux nuage, N’a qu’un nom Continuer la lecture →
À LA CÔTE D’AZUR Là fleurit l’oranger, là brille l’indigo ; Là des parfums troublants, doux comme le Congo, Versent de tous côtés leurs senteurs enivrantes. C’est le pays Continuer la lecture →
GARDEZ CECI POUR VOUS Je suis, nouveau Don Juan, l’enfant chéri des belles, Sans avoir, jusqu’ici, rencontré de cruelles. Puisque vous insistez pour savoir mon secret : « Je Continuer la lecture →
BALS, DÎNERS, FÊTES Le jeune homme élégant dont le flair n’est pas sot Prend toujours aux cheveux l’occasion propice ; Et s’il brigue la main de Suzanne ou d’Alice, Continuer la lecture →
MA GARÇONNIÈRE Sièges bas, lourds coussins, armes et bibelots, Avec des fleurs partout dans les vases de Sèvres, Telle est ma garçonnière, où l’encens du Congo Excita tour à Continuer la lecture →
ÉLEGANCES ÉPISTOLAIRES Tous les poulets galants, ces messages aimés, Doivent être au Congo doucement parfumés, Car la main qui frôla leur vélin, blanche et fine, Enferma dans ses plis Continuer la lecture →