ENTRE BERLIN ET ROUBAIX
ENTRE BERLIN ET ROUBAIX La science française est sûre d’elle-même, Tout ce qu’elle découvre est acquis sans débats ; Si le vaccin de Koch est encore un problème, Le Congo Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
ENTRE BERLIN ET ROUBAIX La science française est sûre d’elle-même, Tout ce qu’elle découvre est acquis sans débats ; Si le vaccin de Koch est encore un problème, Le Congo Continuer la lecture →
LE REMÈDE DE KOCH Guérit-il, oui ou non ? Le problème se pose En attendant, on meurt de la tuberculose… Pareil doute n’est pas imputable au Congo Qui, comme au Continuer la lecture →
[sans titre] Oscar, dont la fibre est éteinte, Pour faire croire à ses amis Qu’il s’est en amour compromis, Vient d’imaginer cette feinte : Il a quelques Congo sur lui ; Continuer la lecture →
MA GARÇONNIÈRE En ma garçonnière élégante Tout est prévu : le lavabo Est garni du plus fin Congo Et la femme en sort délirante ! Paru le 28 novembre 1890 dans Continuer la lecture →
PLAISIRS D’HIVER L’hiver, dans les salons dorés, étincelants Quand la valse tournoie, entraînant la jeunesse, Combien de doux aveux tout imprégnés d’ivresse, Congo, sont provoqués par tes parfums troublants. Continuer la lecture →
TO BE OR NOT TO BE Le grand souci de Gabrielle C’est d’être chic pour son procès. — Si j’avais du Congo, comme je serais belle ! Mais il faut Continuer la lecture →
VENT D’AUTOMNE Tombez par millions, feuilles mortes d’automne, Tourbillonnez dans l’air, roulez au fil de l’eau, Qu’importe ! Les parfums de l’été qui rayonne Sont conservés pour nous dans le Continuer la lecture →
IN CUBICULUM REGINA Si la femme, en amour, a toujours le dessous, (La meilleure posture — à moins d’être à genoux…) Elle sait de nos cœurs être encor la Continuer la lecture →
LE PARTAGE DE L’AFRIQUE Chacun fait ce qu’il peut pour conquérir l’Afrique : L’Anglais met l’indigène en tous petits morceaux ; Le Français, plus humain, lui donne le Congo, Dont les Continuer la lecture →
LARRON D’AMOUR — Il m’aime, et chaque jour commet le doux larcin D’une fleur, d’un ruban que mon corps a touché ; Hier, ma chère, il m’a pris le Congo Continuer la lecture →