À MATHURIN
À MATHURIN Ta main calleuse, ô Mathurin, A des douceurs de chat qu’on flatte, Malgré la corde qui la gratte, Mais tu te sers du Congo fin. Paru le Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
À MATHURIN Ta main calleuse, ô Mathurin, A des douceurs de chat qu’on flatte, Malgré la corde qui la gratte, Mais tu te sers du Congo fin. Paru le Continuer la lecture →
ABSTRACTEUR DE QUINTESSENCE La chimie est un art merveilleux, je vous jure ; Voyez comme elle peut, avec d’humbles produits, Sous la main de Vaissier faire un savon exquis Qui Continuer la lecture →
AVANT LA BARBE Sur ma frimousse, ô mon blaireau Mets ta mousse rafraîchissante Cette mousse, fine, odorante, Que nous devons tous au Congo. Paru le 31 mai 1889 dans Continuer la lecture →
L’ŒUVRE De même qu’un sculpteur, caressant du ciseau La Phœbé dont son art harmonise les traits, Le magique savon de Vaissier, le Congo, Affine les contours du corps, qu’il Continuer la lecture →
DE L’EAU ! DE L’EAU ! Prenez des bains fréquents. C’est la bonne saison ; L’hygiène vous prescrit l’emploi d’un seul savon ; L’esprit se sent plus vif, le corps plus souple et Continuer la lecture →
À L’EXPOSITION La Javanaise a le ton chaud Et de beaux yeux noirs en coulisse, Mais sa peau si fine et si lisse Connaît le Savon du Congo. Paru Continuer la lecture →
À ESSAYER L’hydrophobe, on le sait, a grande horreur de l’eau ; Mais ne croyez-vous pas qu’il guérirait bientôt Si, métamorphosant l’aspect du lavabo, On y faisait mousser un Savon Continuer la lecture →
LE ROI D’YVETOT Il était un roi d’Yvetot Peu connu dans l’histoire, Qui se serait couvert de gloire S’il s’était lavé z’au Congo. Paru le 26 mai 1889 dans Continuer la lecture →
JEU D’ENFANT Effacer sans retour la ride d’un visage, Rendre au front qui vieillit la jeunesse et l’éclat Tout le monde sait bien que ce prestige-là Pour le puissant Continuer la lecture →
[sans titre] Lorsqu’une actrice est « arrivée », Sa peau, jadis fraîche, est fanée Par l’abus des fards corrosifs. Mais j’en connais dont l’éclat vif Et la jeunesse ravivée Paraissent tous Continuer la lecture →