L’ART ET LA BEAUTÉ
L’ART ET LA BEAUTÉ Avec son fixatif, Lacaze immortalise Le flou, le velouté du fugitif pastel ; Avec son fin Congo d’une senteur exquise, Vaissier, sur le front pur de Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
L’ART ET LA BEAUTÉ Avec son fixatif, Lacaze immortalise Le flou, le velouté du fugitif pastel ; Avec son fin Congo d’une senteur exquise, Vaissier, sur le front pur de Continuer la lecture →
UNE FÊTE Ami, venez demain ; nous boirons un bourgogne Qu’un siècle a vu jaunir derrière les fagots ; Et puis, pour éclaircir notre vermeille trogne, Nous ferons une orgie… au Continuer la lecture →
ACTIONS DE GRACE Ma gorge que tu dis d’albâtre, Son parfum que tu dis exquis, Cette peau sans poudre de riz, Mes seins si frais, si rebondis, Tu dois Continuer la lecture →
EN MÉNAGE Nous n’avions pas très lourd en entrant en ménage, Mais à deux cœurs épris qu’importait dans la cage ! Deux chaises, une table, un lit, un lavabo Et, Continuer la lecture →
DANS LA HOTTENTOTIE Dans la Hottentotie, Quand un Hottentot scie Et suant qu’il a chaud ; Il dit : « Que n’ai-je, hélas ! un Savon du Congo ! » Paru le 30 juillet 1888 Continuer la lecture →
[sans titre] Carte d’or ou carte d’argent, Vous le savez, ma belle enfant, Désigne le plus fin Champagne, Qui vous fait battre la campagne… De même, le parfum extra, Continuer la lecture →
GRANDEUR ET DÉCADENCE Aurait-il donc cessé de plaire ? Son nom n’emplit plus les échos ; Le Nord l’oublie… Et Vaissier frère Grandit toujours, grâce au Congo ! Paru le 27 juillet Continuer la lecture →
SOUS LA COUPOLE Ils étaient tous quinteux, éreintés, ratissés, Claque-dents, et leur peau — telle une pomme cuite — S’affalait… L’Immortel leur donna la pituite, C’était la mort sans Continuer la lecture →
CHANGEZ DE PEAU ! « Dans l’Ardèche, la France a parlé nettement. » Disparaissez, monsieur, et rentrez dans le rang ; » À moins que, dépouillant tout à fait le vieil homme, Continuer la lecture →
CHANGEMENT À VUE Quoi ! ce teint blanc et pur, cet incarnat de pêche, Sur vos traits dont la peau fut si brune et si rêche ! — Ne vous étonnez Continuer la lecture →