UN EN-CAS
UN EN-CAS Dans son tout petit sac, quand la demi-mondaine S’en va, le soir, chercher fortune et cœurs errants, Elle met un Congo, dont la suave haleine Rendra plus Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
UN EN-CAS Dans son tout petit sac, quand la demi-mondaine S’en va, le soir, chercher fortune et cœurs errants, Elle met un Congo, dont la suave haleine Rendra plus Continuer la lecture →
SUR MON TESTAMENT Je veux qu’avec des fleurs, pour mieux rêver des femmes, Ces fleurs de mon printemps, — on jette en mon tombeau Ce qui mit si souvent Continuer la lecture →
UN MIRACLE Retour heureux du temps où bouillonnait ma sève, Je me sens plus hardi, plus leste, plus vaillant, En mon vieux cœur, je crois qu’un renouveau se lève. Continuer la lecture →
OHÉ ! PHÉBUS ! — Ah ! ça méchant soleil, que fais-tu donc là-haut ? Nous faudra-t-il grimper au ciel, À l’aide de la tour Eiffel, Pour te débarbouiller le visage au Congo ? Continuer la lecture →
UN SÉNATEUR ET UNE DAME « Madame, nous avons au Sénat des cailloux, » Mais quels cailloux !… Voyez, touchez comme ils sont doux, » Embaumés, reluisants, satinés. » Ah ! vieux diables, Continuer la lecture →
PLAISIR SANS DANGER La morphine a fini d’exalter nos névroses, Ce poison lent, mais sûr, ouvreur de paradis A fait place au Congo dont les parfums exquis Mettent la Continuer la lecture →
À L’EXPOSITION À l’Exposition, les peuples réunis Viendront voir les splendeurs de la Ville immortelle ; Mais jaunes ou noirs, tous, vous savez la nouvelle, S’en reviendront chez eux, grâce Continuer la lecture →
PUBLICATION DE BANS Je proclame à jamais l’indissoluble union De ma peau, — ma chère guenille ! — Avec le Congo, seul savon Qui la rende toujours douce, fraîche et Continuer la lecture →
LES ÉTRANGERS On les voit venir en foule : C’est la houle. Ils courent tous acheter Du fin Congo chez Vaissier. Paru le 26 avril 1889 dans Le Petit Parisien Continuer la lecture →
BARBEY D’AUREVILLY Jusqu’à son dernier jour il défia la mort ; Ses traits avaient gardé l’éclat de la jeunesse ; Près d’expirer, Barbey se parfumait encor, Car il dut au Congo Continuer la lecture →