LA CASSOLETTE
LA CASSOLETTE Il n’en restait plus qu’un tout petit brin De mon Congo fin, Et comme au début la chambre était pleine De sa douce haleine ! Jenny l’ouvrière Paru Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
LA CASSOLETTE Il n’en restait plus qu’un tout petit brin De mon Congo fin, Et comme au début la chambre était pleine De sa douce haleine ! Jenny l’ouvrière Paru Continuer la lecture →
L’ESPRIT DE M. JEAN — Il fallait, mon enfant, te lever bien plus tôt Car tu vas recevoir un savon à l’école ! Mais, loin de s’effrayer, le gamin cabriole : Continuer la lecture →
[sans titre] — Quoi ! vous venez du bain, Madame ! Il est minuit ! Et depuis ce matin vous êtes en ballade ! — Mon cher, je me sentais énervée et malade ; Continuer la lecture →
BON PRINCE Tous les savons, un jour, prièrent le Congo De leur laisser prendre sa place, — Je veux bien, mais d’abord, — fit-il, — mes doux agneaux, Qu’un Continuer la lecture →
AUX QUATRE POINTS CARDINAUX Le Temps a consacré son mérite éminent, Et du Nord au Midi, de l’Est à l’Occident, Tous les peuples, épris de sa senteur si fine, Continuer la lecture →
BLANDA VENUSTAS Mesdames, mélangez à l’eau du lavabo Les doux et fins parfums du Savon du Congo, Si vous voulez briller comme Vénus la blonde, Lorsque belle et divine Continuer la lecture →
CASSEZ-VOUS LE NEZ ! Grâce au talent subtil des habiles chimistes, Tout peut se contrefaire et se falsifier. Mais un produit, un seul, à leurs effets résiste : C’est le Congo, Continuer la lecture →
HEUREUX SIÈCLE ! Ce siècle va finir et rentrer dans l’Histoire. Il aura vu briller Musset, Victor Hugo, Le grand Napoléon, amant de la Victoire, Il aura respiré les parfums Continuer la lecture →
LES TACHES DE SON Sans potasse ni soude, exempt de tout acide, Et fait uniquement avec le suc des fleurs, Le Congo rend au teint son incarnat limpide, Et Continuer la lecture →
LA FIN DES CANTINIÈRES On vous supprime — hélas ! cantinières coquettes. Adieu votre bidon, votre chapeau ciré, Adieu votre cantine, où le galant fourrier S’astiquait au Congo des pieds Continuer la lecture →