LA MOBILISATION
LA MOBILISATION On était informé, partout, dans le Midi, Du choix des régiments désignés pour l’épreuve, Car les gares étaient encombrés de colis De Savons du Congo, auxquels les Continuer la lecture →
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète
LA MOBILISATION On était informé, partout, dans le Midi, Du choix des régiments désignés pour l’épreuve, Car les gares étaient encombrés de colis De Savons du Congo, auxquels les Continuer la lecture →
AUX ENFERS Virgile le poète d’illustre mémoire Chante encore aux enfers sur ses divins pipeaux On dit que dans ses chants, il célèbre la gloire Au meilleur des savons : Continuer la lecture →
DÉLICES DE CAPOUE — Esclave, apporte-nous des roses, Enguirlande nos fronts moroses, Et, dans nos aiguières de Chio, Répands le Savon du Congo ! Paru le 29 août 1887 dans Continuer la lecture →
SOUHAIT DE JEUNE FILLE Ô Vaissier, mon bon ange, Comme ça me démange, Des boutons sur la peau ! Mais, ô divine cure, Vends-moi, je t’en conjure, Un Savon du Continuer la lecture →
AXIOME Quand, aux intempéries, l’épiderme est sensible, Il faut le revêtir d’un vernis protecteur. Le Savon du Congo, ce doux réparateur, Aux changements du temps, le rend inaccessible. Paru Continuer la lecture →
À UNE DAME Une dame m’écrit : « Pourquoi votre réclame » Vante-t-elle toujours le Savon du Congo ? » Je réponds : « C’est le seul, sur votre honneur, madame, Qui rende toujours jeune, Continuer la lecture →
[sans titre] Je vous le dis en vérité, Madame, pour votre santé, Évitez l’emploi de ces drogues : Pâtes, fards et leurs analogues Dont les bases sont des poisons ! Rendez-vous Continuer la lecture →
[sans titre] Il était un roi moricaud, Qui, jusqu’à la tombe fidèle, Eut un souvenir de sa belle, Un exquis Savon du Congo. Lorsque vint son heure dernière, Pour Continuer la lecture →
LE SAGE L’AFFIRME Un héros de Gil Blas, le docteur Sangrado, Préconisait — pour tout ! — le régime de l’eau. Sans croire qu’elle peut guérir mille et un maux, Continuer la lecture →
À ZOLA Père du Zolapück, fils d’Éole, un grand vent T’apporta : — ne sentant ni rose ni verveine ; De tout ce qui puait, tu gardais le relent, Si bien Continuer la lecture →