MON MARI ME DISAIT :
Je t’aime beaucoup mieux, chère petite femme,
Quand je respire en toi, ce parfum pur dictame.
Pour rester Juliette, et moi ton Roméo,
Parfume-toi toujours au Savon du Congo.
Joséphine O…
Paru le 12 février 1899 dans L’Éclaireur de Nice.