CAUSE PARFUMÉE

 

CAUSE PARFUMÉE

La Cour devant juger cette cause à huis clos,
Tout fut bien préparé pour que rien ne transpire ;
Mais la foule, au dehors, disait : « Ce qu’on respire,
C’est l’odeur délicate et fine du Congo. »


Joseph Tardieu

Paru le 10 novembre 1898 dans Le Petit Parisien ;
le 4 décembre 1898 dans L’Éclaireur de Nice.

Variante :

Dans L’Éclaireur de Nice, le quatrain, signé J.-F.-Y. Tardieu, diffère au dernier vers :

C’est l’odeur délicate et fine des Congos. »

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