COLOSSES
Lors que je vois des gens d’énorme corpulence,
Je suis émerveillé d’abord, et puis je pense :
« Las ! pour débarbouiller tout ça de bas en haut,
Ce qu’il doit en falloir de Savon du Congo ! »
J. Caillava
Paru le 2 octobre 1898 dans Le Gaulois.