BAINS CANICULAIRES

 

BAINS CANICULAIRES

Non, je ne connais rien de plus exquis que l’eau,
Où l’on brave Phébus et ses rayons torrides ;
Où, tout le corps plongé dans les ondes limpides,
On fait mousser le doux, et frais, et pur Congo.


J. Sirène

Paru le 11 septembre 1898 dans L’Éclaireur de Nice.

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