RESTÉ JEUNE
La neige des hivers blanchit ma chevelure ;
Je n’ai garde pourtant d’employer la teinture,
Puisque j’ai le teint frais et pur d’un jouvenceau,
Grâce aux douces vertus du Savon du Congo.
A. Malveau
Paru le 31 mars 1898 dans La Croix.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète