LA FIN D’UNE RACE
Le nègre ne peut plus, hélas ! continuer ;
Sa peau, qu’on admirait jadis luisante et noire,
Sous l’effort lent et sûr du Congo de Vaissier
S’affine, s’embellit et prend des tons d’ivoire.
Mustapha-Kaoulet
Paru le 24 mars 1898 dans Le Petit Parisien.