DURABLE ROYAUTÉ
Je fus reine un seul jour et ne regrette pas
Ma fragile couronne et l’encens des hommages,
Car ma fraîcheur, l’éclat de mon jeune visage
Sont, grâce au fin Congo, des biens qu’on ne perd pas.
Mlle Bourdillon
Paru le 20 mars 1898 dans Le Gaulois.