BAINS D’HIVER
On croirait que l’hiver va mettre une sourdine
Aux ardeurs qui l’été, nous poussent vers les flots :
Pas du tout ! l’on consomme encore plus de Congos,
Tant leur mousse est exquise et leur odeur divine !
E. Lambrosé
Paru le 12 décembre 1897 dans L’Éclaireur de Nice.