AU MUSÉE DU LOUVRE

 

AU MUSÉE DU LOUVRE

Boireau pleure devant la Vénus de Milo :
« Ah ! quel malheur, dit-il, que cette femme exquise
Mais sans bras, n’ait jamais pu porter de chemise
Ni se laver le torse au Savon du Congo ! »

Ernest V…

Paru le 28 octobre 1897 dans Le Petit Parisien et Le Gaulois.

Variante :

La version du Gaulois est très différente :

Boireau gémit devant la Vénus de Milo :
« Ah ! quel malheur, dit-il, que cette femme exquise
N’ait pas eu ses deux mains pour mettre ma chemise
Et pour laver mon torse au Savon du Congo ! »

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