LA MORT D’UN POÈTE

 

LA MORT D’UN POÈTE

Pauvre rimeur, pourquoi briser ton luth ?
A la vie, au printemps, pourquoi donc dire zut ?
N’avais-tu pas Vaissier, qui fait, pour quelques rimes
En l’honneur du Congo, des cadeaux magnanimes ?

Jules Moyel

Paru le 7 octobre 1897 dans La Croix.

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