PREMIÈRES AMOURS
Notre cœur, par instinct, revient souvent à celle
Qui fit jaillir en lui la première étincelle ;
Le nez revient toujours, heureux de le sentir,
Au Parfum du Congo qui ne sait pas mentir.
Paul Sincère
Paru le 17 juin 1897 dans L’Éclaireur de Nice ;
le 24 juin 1897 dans Le Petit Parisien.
Variante :
Dans L’Éclaireur de Nice, le premier vers diffère :
Notre cœur, par instant, revient souvent à celle