FLEUR DE JEUNESSE
Si tu veux conserver cette beauté qui pare
Ton visage aussi blanc que le plus pur Carrare,
N’abandonne jamais les parfums merveilleux
Du délicat Congo, ce fin savon des dieux !
Un artiste
Paru le 11 décembre 1890 dans Le Petit Journal ;
le 14 décembre 1890 dans Le Figaro.
Notes :
Dans Le Petit Journal, le quatrain n’est pas signé.
Dans Le Figaro, le quatrain, titré « Pour rester jeune », diffère au dernier vers :
Du Congo délicat, ce fin savon des dieux.