[sans titre]
— Ah çà ! qu’ai-je donc ? Je suis grise…
Grise à jeun, l’étrange surprise !
J’ai des désirs très folichons,
Mon cœur bat fort sous mes nichons,
Enfin je vois la vie en rose…
De cet émoi quelle est la cause ?
C’est l’odeur fine du Congo
Qui monte et ravait mon cerveau !
Paru le 6 décembre 1890 dans La Vie Parisienne.