[sans titre]
Recevoir des égards et de tendres hommages,
Voir, lorsque tu parais, briller sur les visages
Un éclair de désir, d’amour ou de gaîté ;
Parfumer ta peau fine au Congo délectable,
Ce produit sans rival, exquis, inimitable,
Femme, ô Reine, voilà ton destin enchanté !
Louise de Laincel
Paru le 22 novembre 1890 dans La Vie Parisienne.