VAS ELECTIONIS
Tes yeux m’ont fait au cœur une vive blessure,
Mais ta bouche a calmé les feux dont je brûlais ;
Nul fruit n’a la saveur de ton haleine pure,
Où le Congo répand ses arômes si frais !
Paru le 17 novembre 1890 dans Gil Blas.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète