LES PARISIENNES
Il n’est rien de plus beau, messieurs, je vous le dis,
Que les attraits divins des femmes de Paris
Quand le Congo suave, aux brises charmeresses,
A touché leurs minois de ses douces caresses !
Un poète parisien
Paru le 3 novembre 1890 dans La Lanterne ;
le 23 novembre 1890 dans Le Figaro ;
le 24 novembre 1890 dans Le Petit Parisien.
Notes :
Dans Le Figaro, le quatrain est signé Un poète breton.