L’AVIS DES PARISIENNES

 

SALUT DES PARISIENNES

Congo, baume suave, exquis, frais, enchanteur,
Qui sèmes sur le teint l’incarnat de la rose,
Et la blancheur du lys qu’une fontaine arrose,
Nous saluons en toi ton charmant inventeur.

Toutes les Parisiennes

Paru le 12 septembre 1890 dans Le Petit Parisien ;
le 21 septembre 1890 dans Le Figaro ;
le 22 septembre 1890 dans La Lanterne ;
le 12 octobre 1890 dans Le Petit Troyen ;
le 5 mai 1898 dans La Croix
.

Notes :

Dans Le Figaro, le quatrain, signé Les Mondaines de Paris, diffère aux deux premiers vers :

Fin Congo, savon pur, baume exquis, enchanteur,
Qui répands sur le teint l’incarnat de la rose,

En 1898, le quatrain retitré « L’Avis des Parisiennes » et signé Un groupe de Parisiennes, diffère aux deuxième et dernier vers :

Qui sèmes sur le teint l’incarnat et la rose,
…………………………………………………………
Nous saluons en toi ton heureux créateur.

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