[sans titre]

 

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La jeunesse, ma chère, est une fleur qui passe,
Et son grisant parfum s’exhale dans l’espace…
Si tu veux à ton teint conserver sa fraîcheur,
Avoir les traits empreints d’un charme séducteur,
Renonce à tous les fards, et ne fais ta toilette
Qu’avec le pur Congo, ma douce mignonnette !

Paru le 6 septembre 1890 dans L’Univers illustré.

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