[sans titre]

 

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Tu me trompais donc, cher miroir,
Quand tu montrais chaque soir
Le progrès lent et sûr des rides
Sur mes traits, autrefois candides !
Aujourd’hui ma bouche et mes yeux
Ont une chair soyeuse et rose,
Et c’est toi, Congo merveilleux,
L’auteur de ma métamorphose !

Paru le 6 septembre 1890 dans La Vie Parisienne.

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