DEUX RÉPARATEURS
Au débile vieillard dont le jarret chancelle
On verse du corton, du généreux margaux ;
À la beauté qui passe on offre du Congo,
Qui décore ses traits d’une fraîcheur nouvelle.
Paru le 22 août 1890 dans L’Intransigeant.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète