[sans titre]

 

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Le soir, lorsque la mer remonte vers la plage,
Lasse d’avoir reçu tant de baigneurs bruyants,
De ses flots reposés un parfum se dégage…
C’est celui du Congo, subtil et pénétrant,
Qu’ont laissé les appâts, les jeunes corps charmants
Des baigneuses, au clair et souriant visage.

Paru le 16 août 1890 dans L’Univers illustré.

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