[sans titre]

 

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Les suaves parfums que le jeune Zéphyr
Emporte sur son aile à travers les prairies,
Les grands bois, les vallons, les campagnes fleuries,
Parfums plus odorants que les baumes d’Ophir,
Le savon de Vaissier, le Congo, les renferme,
Prisonniers dans sa pâte exquise, douce et ferme.

J. Joubin

Paru le 12 juillet 1890 dans La Vie Parisienne.

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