À LONGCHAMP
— Avez-vous gagné par le bon tuyau ?
— Je ne joue jamais et gagne quand même,
Au turf comme ailleurs tout le monde m’aime,
Car je me parfume au divin Congo.
Un sportsman
Paru le 17 juin 1890 dans L’Intransigeant.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète