[sans titre]

 

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La mondaine a besoin de changer de parure
Selon l’heure, le lieu, l’usage. Rien ne dure
Entre ses mains toujours prêtes aux changements.
Mais, quoiqu’elle ait par jour dix habits différents,
Un seul parfum lui plaît, et c’est toujours le même,
Le délicat Congo, qu’elle garde et qu’elle aime.

Paru le 7 juin 1890 dans La Vie Parisienne.

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