À GEORGETTE DE B…
Tu charmes nos aïeux, tu séduisis mon père ;
Moi-même j’ai subi ton attrait souverain ;
Et je crois que nos fils, à leur heure dernière,
Auront un même amour pour tes appâts divins,
Car ta Beauté, toujours nouvelle et printanière,
Grâce aux sucs du Congo n’aura jamais de fin !
Un « fin de siècle »
Paru le 17 mai 1890 dans Gil Blas.