MATINÉE DE PRINTEMPS

 

MATINÉE DE PRINTEMPS

Le gai soleil m’éveille en frappant aux carreaux ;
Levons-nous vite ; allons, mignonne, il n’est que tôt,
La fraîcheur du Congo, sa mousse parfumée,
T’aura, comme une fleur, bien vite ranimée !

Paru le 12 mai 1890 dans L’Intransigeant.

Commentaires fermés.