À UN CÉLIBATAIRE

 

À UN CÉLIBATAIRE

Ah ! tu veux épouser cette femme ? Regarde !
Tout l’éclat de ses traits est faux : elle se farde !
Ne prends en légitime et final conjungo
Qu’une beauté « nature », et dont la fraîche peau
Conserve son éclat grâce au divin Congo !

Paru le 9 avril 1890 dans L’Intransigeant.

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