LE BON CANNIBALE

 

LE BON CANNIBALE

J’ai de baisers si drus dévoré son corsage,
Ses bras blancs, et sa bouche, et son corps tout entier
Qu’elle m’a dit : « Ah ça ! t’es donc anthropophage ! »
« Non, chère, mais ma faim ne se peut apaiser,
» Quand je hume en ta chair les parfums de Vaissier. »

Paru le 24 mars 1890 dans Gil Blas.

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