UN MORIBOND
Le cabinet n’a plus qu’une vie éphémère…
Un replâtrage adroit ne peut plus le sauver.
Ah ! s’il ne s’agissait que de rendre prospère
Un vieillard, le Congo saurait le redresser !
Paru le 7 mars 1890 dans L’Intransigeant.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète