FIGARO DE VILLAGE
Un adroit coiffeur mit sur sa boutique
« Je donne demain le Congo pour rien »
Cent naïfs tentés par ce mot magique,
Pour voir se lever ce beau lendemain,
Passèrent la nuit sur la voie publique.
Paru le 13 janvier 1890 dans Le Petit Parisien ;
le 20 janvier 1890 dans La Lanterne ;
le 18 mai 1890 dans La Croix.
Notes :
Dans La Croix et Le Petit Parisien, le troisième vers diffère :
Cent naïfs, tentés par ce nom magique,