MADRIGAL

 

MADRIGAL

En des rêves charmants, je berce les tristesses ;
Je donne plus de prix et d’ardeur aux caresses,
Je ranime les traits flétris ; par mes secrets,
Je remplis de trésors savoureux les corsets ;
Mieux que les fleurs, j’exhale un encens qui parfume,
Pour citer mes vertus, il faudrait un volume.

Une cliente du Congo

Paru le 30 novembre 1889 dans Gil Blas ;
le 25 avril 1890 dans La Lanterne ;
le 27 avril 1890 dans Le Petit Troyen ;
le 5 mai 1890 dans Le Petit Parisien ;
le 6 mai 1890 dans Le Figaro.

Commentaires fermés.