LE DÉPART DE L’HIRONDELLE
Puisque tu vas partir, frileuse passagère,
Prends mes vers sous ton aile et sois ma messagère.
Qu’ils disent là-bas, bien loin, qu’il a toute ma tendresse,
Le Savon du Congo, c’est l’éternelle jeunesse.
Mlle L. P.
Paru le 26 novembre 1889 dans Le Figaro ;
le 2 décembre 1889 dans Le Petit Parisien ;
le 11 décembre 1889 dans La Lanterne.
Notes :
Dans Le Figaro, le quatrain n’est pas signé.