CE QUE JE PRÉFÈRE

 

CE QUE JE PRÉFÈRE

J’aime mieux du Congo le parfum pénétrant,
Jusqu’au dernier morceau restant toujours le même,
Que celui de la fleur, rose, œillet, chrysanthème,
Qu’on respire et qu’on jette et qui meurt en tombant.

Paru le 11 novembre 1889 dans Le Petit Parisien.

Notes :

Le dernier vers est la reprise d’un vers d’Alfred de Musset (« Namouna. Conte oriental », Chant deuxième, VII).

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