LE PIPELET DE BELZÉBUTH
Quand dans l’enfer entre un nouveau,
Notez que le cas n’est pas rare,
Le pipelet sans crier : gare !
Lui dit : « Pour préserver ta peau,
» Mon bon, je te vends un Congo. »
Paru le 6 novembre 1889 dans Le Petit Parisien.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète