L’EXILÉ
Abandonné de tous, je languis dans l’exil ;
Mon nom n’est prononcé qu’avec indifférence.
Je n’ai plus qu’un Congo, dont le parfum subtil
Me rappelle les fleurs et le beau ciel de France !
Paru le 4 novembre 1889 dans Le Petit Journal.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète